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 Hippolyte Zague + We can't go back

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Hippolyte Zague
Hippolyte Zague

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MessageSujet: Hippolyte Zague + We can't go back   Hippolyte Zague + We can't go back EmptyMer 2 Mar - 13:14




Hippolyte Zague feat Alicia Vikander

Qui je suis

Cet oiseau de nuit, fil entre les nuages beaucoup trop vite pour qu'on puisse l’apercevoir. Elle déambule entres les arbres pour échapper aux ombres qui la suivent ; ces ombres qu'elle connaît par cœur. "Discrétion" lui crie son corps. Elle est effrayée, son cœur bat à tout rompre contre sa poitrine, peut importe la minute de la journée. Elle court, braque son arme contre l'ennemie et elle n'hésite pas une seule seconde avant de tirer sur son adversaire. Elle est intrépide, courageuse. Zippo avance, de manière logique, elle s'assure que tout est en ordre autour d'elle, c'est ce qu'on lui a toujours appris : ne te laisse pas avoir par les apparences ; les jolies plantes possèdent des épines. Logique, adroite et réfléchie, cette jeune femme est inébranlable ; elle trouve toujours au fond d'elle la force de se relever. Elle trouvera toujours la force d'avancer, même si elle doit ramper dans la boue. C'est de là qu'elle tire sont optimiste ; elle y arrivera. Pas seulement parce qu'elle est entraînée, mais parce qu'elle y croit : parce qu'elle a confiance, parce qu'elle saura persévérer. C'est une femme forte, une femme impliquée, volontaire. Mais avant tous, son cœur est gonflé d'espoir, elle a confiance en l'avenir. Avant l'arrivée, on disait de son hôte qu'elle était beaucoup trop sentimentale et douce pour être flic. Mais, elle a su leur prouver le contraire. Et elle le trouve aujourd'hui. Car elle, l’entité et elle, Hippolyte ne sont qu'une même et unique personne. Ça n'en a jamais été autrement. Solidaire, dévouée et bienveillante, elle n'a jamais eu le cœur à participer à l'extinction des êtres humains, bien au contraire. Mais cette jeune femme ne possède pas que des qualitées, sa fougue lui apporte souvent des défauts, son esprit de vengeance l'aveugle ; et c'est ce qui la rend si énigmatique, si mystérieuse ; comment une femme aussi douce et aussi optimiste peut-elle être à ce point aveuglée par la rage ? Elle est insolente, Rebelle, mais on l'oublie rapidement lorsque l'on découvre son énergie et son esprit de sportive. Elle a toujours son zippo sur elle, il ne reste que très peu de gaz, alors elle ne s'en sert qu'en cas d'urgence ; ordonnée et maniaque, elle sait exactement ce qu'elle possède, et ce, dont elle aura besoin. Elle sait être patiente, très patiente, dans ce monde, elle n'en a plus le choix de toutes façons. Elle a appris à devenir indépendante, mais cela ne l'empêche d'être beaucoup trop protectrice et possessive. On ne lui arrachera plus les personnes auxquelles elle tient. Jalouse, fidèle, franche et beaucoup trop curieuses, elle sait ce qu'elle doit faire et où elle doit aller.

passe ta souris si tu veux en savoir plus
Surnom: ZippoAge: 25 ansOrientation sexuelle: hétérosexuelleSituation amoureuse: c'est compliquéGroupe: Innocence
DERRIÈRE L’ÉCRAN: Je m'appelle Anaïs ou Anaysum et j'ai 18 ans. Vous pouvez donc vous en douter, je suis une fille. J'ai connu le forum grâce à PRD mais surtout parce que j'ai aidé à la mise-en-place du forum et je le trouve suuuuper, super, super. Oui, j'ai que ce mot à la bouche. Mon personnage est un inventé et je ne vous autorise pas à en faire un scénari si mon compte se retrouve supprimé.


en savoir un peu plus sur moi

« J'ai oublié qui je suis, je crois que je me suis confondu. Il n'y a qu'avec lui que je sais qui je suis, que je me souviens que je suis essentiellement humaine. »

Je leur avais dit que je ne voulais pas que nous attaquions la Terre. Je voulais que nous puissions vivre en harmonie avec ces créatures humaines, que nous apprenions à vivre comme elles. Je leur avais dit que nous n'avions rien à craindre si nous décidions de vivre parmi eux dans l'anonymat total. Mais, toutes mes supplications sont tombées dans les oreilles d'un sourd. Nous n'étions qu'un petit groupe à penser que nous pourrions arriver sur terre sans nous faire remarquer, seulement une misérable poignée parmi des milliers. Ils pensaient tous que, vivre en tant qu'être humain était une manière de nous rabaisser à être comme eux. A être eux. Je n'ai jamais compris ce qu'il y avait de mal dans le fait d'être humain. Ils ne sont pas aussi avancés que nous, ils ne comprennent pas encore tout ; mais rien n'indique qu'ils ne comprendront jamais ce que nous avions compris. Certains ont remarqué que leur planète pleure et qu'elle est de plus en plus malade, alors, les choses ne sont pas perdues d'avance. Seulement, ils n'ont pas voulu écouter un traître mot des arguments qu'on leur offrait sur un plateau et nous avons été contraints de suivre la masse, de suivre la foule. Nous voulions sur-vivre.

J'ai été téléchargée dans le corps de cette humaine lorsqu'elle n'avait que deux ans. Peu après la fin du téléchargement, elle s'est réveillée et à hurlée à pleins poumons jusqu'à ce que sa mère vienne la bercer. Je le sentais, car je sentais ce qu'elle sentait et j'ai fini par ressentir ce qu'elle ressentait ; elle était terrorisée. Je venais à peine d'arriver dans son corps. Pourtant, je ne m'étais jamais sentie autant bouleversée qu'à cet instant par tout l'amour que ces humains ressentaient les uns pour les autres. L’adaptation me semblait facile avant de pénétrer le corps de cette petite humaine à peine apte à parler correctement ; mais finalement, les choses étaient un peu plus compliquées que ce que je croyais. Il m'arrivait parfois de ne pas retenir un visage ou un nom, et je me retrouvais à observer les réactions d'Hippolyte. Est-ce que c'était ses réactions, ou bien les miennes ? Je dois dire que je ne sais plus. Au bout de seize années passées dans son corps, j'avais l'impression d'être son alter égo, j'avais l'impression que nous n'étions rien de plus qu'une conscience démantibulée dont l'une aurait eu une autre vie avant de se retrouver dans ce corps.

Hippolyte -ou "moi", si je puis dire- a eu une enfance, particulièrement mouvementée. J'ai toujours été la petite fille à son papa. Dès que j'avais un problème ou que j'avais besoin de me confier à quelqu'un, je courrais me réfugier dans les bras de mon père. Il avait toujours les mots, il savait toujours quoi faire pour me réconforter et me montrer que je pouvais avoir confiance en lui. Il a toujours été là pour moi, même dans les moments les plus sombres, même lorsque lui était au bout du rouleau. A cinq ans, quand mes parents se sont séparés, j'ai vu mon père dans un état lamentable ; mais il a tout fait pour nous garder, Eliott et moi, avec lui. Il a réussi. Donc, nous n'allions voir notre mère -qui avait déménagé sur New-York- seulement pendant les grandes vacances et c'était beaucoup mieux comme ça. Ma relation avec ma mère était très mauvaise, nous étions toujours en train de nous disputer alors, lorsque j'y aller, ce n'était pas forcement la joie et je restais souvent enfermée dans ma chambre. Mais j'ai beaucoup regretté, il y a quelques mois, toutes ces années passées à ne pas s'entendre. Avec ma belle-mère, c'était un peu la même chose ; on ne s'entendait pas vraiment. Mais, je faisais un effort pour mon père. Pour lui faire plaisir. Et c'est la seule raison qui avait fait que nous nous entions un minimum.

Lorsque j'ai eu dix-huit ans, je suis rentrée dans une école de police et depuis deux ans, je faisais partie d'une brigade au sein de la police de Colombus. J'avais toujours voulu protéger les innocents et devenir flic m'avait toujours beaucoup intriguée. Seulement, j'ai toujours eu un peu de mal avec l'autorité, alors, j'ai mis beaucoup de temps à m’habituer à recevoir des ordres et à obéir, mais j'avais fini par m'y habituer. Du moins, une partie de moi. C'est là-bas que j'ai appris à tirer avec une arme, que j'ai appris à être discrète, à me fondre dans la masse. J'ai appris beaucoup. Il le fallait. Et aujourd'hui, tout ce que j'ai appris à l'école de police me permet de survivre.

Ma vie était presque parfaite. Je m'étais installée avec mon petit ami dans un appartement du centre-ville. Max bossait en tant qu'infirmier dans l'hôpital de la ville, donc on s'en sortait assez bien. On avait même prévu d'avoir des enfants. Pas tout de suite, mais d'ici deux ou trois ans, il aurait été fort probable que je tombe enceinte, d'un petit monstre. Malheureusement, ça n'arrivera jamais.

Tout à changé quand l'arrivée à eu lieu.

Comme tout le monde, je n'ai pas manqué "l'arrivée" des autres. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais lors de l'arrivée, la conscience d'Hippolyte a été totalement absorbée et il ne restait plus que moi. Comme si notre conscience démantibulée avait été soudée lorsque l'une avait absorbé l'autre. J'étais pleinement libre de mes mouvements et j'ai trouvé ça étrange au départ, mais au final, je n'ai pas changé. Car Hippolyte était moi et j'étais elle. Nous n'étions qu'une, et même personne. Je savais très bien que je n'étais pas humaine et lorsque j'ai vu le vaisseau nous surplomber, j'ai su que je devais cacher ma nature ; que je devais être du côté des humains. Et les premières vagues ont commencé et tout à été détruit.

J'ai vu les gens partir de la ville pour se cacher. Je les voyais fuir. J'aurais aimé leur dire que ça ne servait à rien : qu'ils ne seraient à l'abri nul part, mais je ne le pouvais pas. Donc, je faisais en sorte de protéger mes proches. Mes parents, mon frère, Max. Je faisais toujours attention à tout pour les protéger. Je les gardai avec moi pour ne pas les perdre, pour ne pas risquer qu'ils quittent la ville pour échapper à quelque chose qu'ils ne pouvaient pas fuir. Papa est resté sans problèmes et Eliott est revenu nous voir. Nous sommes restés ensemble dans la maison faillible. Les parents de Max vivant à plusieurs kilomètres de Colombus et ils lui avaient demandé de rester avec nous, je ne les remercierais jamais assez pour ça.

Durant la première vague, j'étais au commissariat. Je travaillais sur mon ordinateur, il fallait que je tape le dossier d'une affaire que l'on venait juste de résoudre. J'étais presque arrivée à la fin de ce long, très long travail lorsque soudainement, tout s'est arrêté. Je dois avouer que je savais qu'ils allaient bientôt commencer à attaquer, qu'ils allaient lancer la première vague, que ce n'était qu'une question de jours. Mais, j'espérai qu'elle tarderait. Alors, lorsque le black-out est arrivé, j'ai d'abord pensé à une grosse panne. Il m'a fallu plusieurs minutes avant de comprendre que ce n'était pas qu'une panne. Ils avaient commencé. Je me suis précipité à la fenêtre la plus proche et j'ai vu un avion tomber du ciel plus loin dans le paysage. C'était impressionnant. C'était terrorisant. Je me suis dépêchée de rentrer chez moi sans prendre la peine de regarder mon téléphone ; je savais qu'il été éteint. Je n'ai jamais couru aussi vite de toute ma vie. Heureusement, tout le monde allait bien. Mais, tout le monde était inquiet. Ils avaient compris que c'était "les Autres" qui avaient fait ça. Que c'était "ma race". Mais à ce moment, j'ai refusé de dire que j'étais des leurs ; j'étais humaine et c'était tout. Comment auraient-il réagis si je leur avais dit que j'étais une "alien" ? Je n'ose pas l'imaginer aujourd'hui.

Lorsque la seconde vague était survenue, nous commencions à peine à trouver une manière de vivre convenablement. Et puis, les hauts ont commencé à monté, des tsunamis qui ont ravagé des villes entières sur le bord des côtes. Il n'avait pas fallu beaucoup de temps avant que je comprenne que ma mère était morte durant ces tsunamis, que New-York avait complètement disparu. Je n'étais pas avec mon père, Eliott et Max lorsque c'est arrivé, mais j'ai compris. Je n'ai pas pleuré, quand j'ai compris que ma mère était surement morte dans ces eaux montantes. Cependant, j'ai reçu un gros coup dans la poitrine. Je m'en suis voulue. Je m'en suis beaucoup voulue de ne pas avoir tenté de nouer des liens, d'arranger les choses... Mais il était trop tard. Cependant, je me suis effondré lorsque je suis rentrée. Le plan d'eau de Colombus avait débordé et rasé une bonne partie de la ville. Et lorsque l’immense vague s'est attaquée à la ville, j'ignorais que Max se trouvait trop près du berceau de la rivière. Papa m'a dit qu'il n’était pas rentré. Je suis tombée à terre en hurlant. Je ne pouvais pas croire qu'il était mort. Non, il ne pouvait pas être mort. Je ne pouvais pas le concevoir. Papa et Eliott ont tenté de me réconforter et j'ai rapidement décidé de m'accrocher à l'idée qu'ils me murmuraient à l'oreille ; il était peut-être toujours en vie. Je me suis dit que oui, il l'était toujours. Que je le retrouverais. Même si je devais faire toute la ville pour le retrouver. Alors, j'ai cherché encore et encore. Je me suis convaincu, qu'il ne lui était rien arrivé. Je le sentais dans ma poitrine.

Et la troisième vague avait frappé. Je n'avais toujours pas retrouvé Max, mais je me forçais à continuer de croire que je le retrouverai. Je savais que les choses allaient empirer. Les gens devenaient fous, paranoïaques. Les boutiques étaient de plus en plus braquées et j'ai suivi la foule, avec mon arme dans les mains. Je devais aussi protéger mon père et mon frère. J'étais la plus expérimentée avec une arme, alors j'étais celle qui sortait. Un midi, j'ai trouvé un M16 et je l'ai précieusement gardé près de moi comme s'il pouvait m'aider à vaincre la maladie.
Vous vous rendez compte ? Ils nous ont envoyé des oiseaux malades pour nous tuer un peu plus. Je ne suis pas tombée malade, mais papa oui. Et ça a été l'épreuve la plus dure que j'ai eue a affronter. J'avais dit à mon frère que je m'occupai de lui et qu'il ne devait pas s'approcher que je ne voulais pas être contaminé. Il ne voulait pas au début et j'ai fini par le convaincre que je savais parfaitement quoi faire. Alors, je me suis occupée de mon père jusqu'à ce qu'il décide de se pendre. Il voulait mourir avant que la maladie ne se charge de le tuer. Je suis celle qui l'a trouvé et j'ai cru mourir sur place en voyant mon père, les pieds ballants dans le vide. Mon frère m'a supporté, nous l'avons enterré dans le jardin et nous avions fui jusque un camp de survivant.

Nous n'y sommes pas resté longtemps quand j'y pense. Nous avions commencé à nous habituer à la vie là-bas. Je continuais de chercher Max, mais je n'avais toujours aucune trace de lui. Marie, la femme de mon père était avec nous. Elle était dans un piteux état. Elle est morte pendant la troisième vague. Elle est morte lors de la quatrième vague. Ce jour-là, j'étais sortie du camp pour chercher Max avec Eliott. Nous sommes rentrés peu de temps avant qu'ils ne décident de tuer tous les hommes qui étaient présents dans le camp. Nous avons entendu les coups de feu. Eliott a décidé d'aller jeter un coup d'oeil, mais il n'a pas eu le temps de se retourner lorsque les soldats sont sorti. Je revois cet homme qui était comme moi tirer une balle entre les deux yeux de mon frère. Je me suis retenu de pleurer et je suis restée cachée dans un coin jusqu'à ce qu'ils partent. Lorsqu'ils eurent disparu, je me suis précipité jusque lui. Il était tellement froid... J'ai pleuré, j'ai failli me laisser mourir au-dessus de son corps. J'ai embrassé son front et je me suis précipitée à l'intérieur pour voir s'il restait des survivants... Ils étaient tous morts. Marie était recouverte par deux corps masculins beaucoup trop gros et elle était entourée d'une mare de sang. C'est à ce moment que je me suis promis que j'aiderais les êtres humains coûte que coûte. Je vengerais ma famille. Mais avant, je devais retrouver Max. Je devais le retrouver et le protéger. Il ne me restait plus beaucoup de temps. Ils avaient enlevé les enfants ; la cinquième vague allait bientôt commencer.

Je ne sais pas combien de temps j'ai marché. Je devais éviter les silencieux, je devais parfois jouer le rôle de celle qui défendait sa race, mais je n'étais plus qu'une humaine au fond de mon cœur et je le resterais. Maintenant ; je dois retrouver Max. Je suis déterminée et ensuite, je pourrais m’occuper de botter le cul à ceux qui souhaite tuer une si belle planète. Même si d'une certaine manière, ils sont ma famille, ma race. Heureusement, maintenant, je ne marche plus seule, nous sommes deux. Et je pris tous les jours pour que nous pussions rester d'eux et trouver d'autre survivant qui comme nous, veulent préserver la planète. J'ai peur chaque nuit, mais j'espère. J'espère du mieux que je puisse. Je dois y arriver. Je dois le retrouver. Je n'ai plus d'autre choix que le sauver. Max est le seul qui peut me sauver. Enfin, je crois...


Code:
[i]× Alicia Vikander ♦ Hippolyte Zague.[/i]


© Nalex
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